Un article (peut-être) rassurant pour ceux qui, ayant dépassé depuis longtemps (du moins depuis quelque temps) l'âge de l'Œdipe (selon la théorie freudienne) éprouvent encore la peur de la castration (connaissez-vous quelqu'un qui ne l'éprouve pas et qui n'ait pas au moins un petit frisson quand il est question d'une quelconque ablation dans la région génitale?).
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En voici le dernier paragraphe:
Dans les cas classiques de membres fantômes, le phénomène est souvent douloureux, ou, dans le meilleur des cas, gênant. Les exemples cités par Nicholas Wade et Stanley Finger montrent que, lorsque le membre absent est le membre viril, les sensations fantômes sont plutôt agréables. Contrairement à ce que pouvait imaginer Georges Brassens dans sa chanson Les Patriotes, chez les “amputés de leurs bijoux de famille”, l’absence d’organe ne signifie pas forcément absence de jouissance…
Allez lire l'article.
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