Pour aucune raison, que celle de vous la faire entendre, voici la «Fantaisie en fa mineur pour piano à quatre mains» de Franz Schubert, interprétée par Emil Gilels et sa fille Elena.
Je ne sais dans quelles circonstances je l'ai entendue il y a vingt ou trente ans (thème d'une émission radiophonique?)
( J'écoute énormément la radio et je l'ai toujours fait, je suis un enfant de la radio, sans publicité évidemment car toutes celles avec m'horripilent).
Elle est en deux parties, fruit des exigences de Youtube (sans doute pour des raisons bassement publicitaires ou pour économiser la bande passante et la faire servir à des fins bassement publicitaires).
Partie I:
Partie II:
Vous pouvez ne pas aimer (je trouverais cela incroyable, mais ainsi va le monde), mais vous ne pouvez pas dire que ce n'est pas de la belle musique.
Pour l'accompagner, voici un poème écrit en français de Rainer Maria Rilke:
Je ne sais dans quelles circonstances je l'ai entendue il y a vingt ou trente ans (thème d'une émission radiophonique?)
( J'écoute énormément la radio et je l'ai toujours fait, je suis un enfant de la radio, sans publicité évidemment car toutes celles avec m'horripilent).
Elle est en deux parties, fruit des exigences de Youtube (sans doute pour des raisons bassement publicitaires ou pour économiser la bande passante et la faire servir à des fins bassement publicitaires).
Partie I:
Partie II:
Vous pouvez ne pas aimer (je trouverais cela incroyable, mais ainsi va le monde), mais vous ne pouvez pas dire que ce n'est pas de la belle musique.
Pour l'accompagner, voici un poème écrit en français de Rainer Maria Rilke:
Puisque tout passe, faisons
la mélodie passagère;
celle qui nous désaltère,
aura de nous raison.
Chantons ce qui nous quitte
avec amour et art ;
soyons plus vite
que le rapide départ.
la mélodie passagère;
celle qui nous désaltère,
aura de nous raison.
Chantons ce qui nous quitte
avec amour et art ;
soyons plus vite
que le rapide départ.
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