mardi 8 juillet 2025
Une licorne ?
Une œuvre d’art à la Place du Citoyen, près de l’Hôtel de ville de Saguenay, où l’on voit une licorne prendre forme ou prendre vie.
Espérons qu’elle prend vie car, dans l’état actuel du monde, une licorne serait utile !
lundi 7 juillet 2025
Créer des inégalités pour en profiter sans le mériter
Qui, parmi les humains, cherchent à tirer profit des inégalités ainsi créées ?
Ceux qui pressentent chez eux une infériorité !
Ceux qui pressentent chez eux une infériorité !
dimanche 6 juillet 2025
Les outrages de la science aux croyances de l’humanité
Au fil du temps, l'humanité a dû souffrir de la part de la science deux grands outrages à son naïf amour-propre.
Le premier, c'est lorsqu'elle a appris que notre Terre n'était pas le centre de l'univers, mais seulement un minuscule fragment d'un système cosmique d'une immensité à peine imaginable.
Le second, c'est lorsque la recherche biologique a privé l'homme de son privilège particulier d'avoir été créé spécifiquement et l'a relégué au rang de descendant du monde animal, impliquant en lui une nature animale indéracinable, ce qui a suscité la plus violente opposition contemporaine.
Mais le désir de grandeur de l'homme subit aujourd'hui le troisième et le plus cruel coup porté par la recherche psychologique actuelle, qui s'efforce de prouver à l'ego de chacun qu'il n'est même pas maître chez lui, mais qu'il doit se contenter des plus infimes informations sur ce qui se passe inconsciemment dans son esprit.
Nous, psychanalystes, n'avons été ni les premiers ni les seuls à proposer à l'humanité de se tourner vers l'intérieur ; mais il semble que notre devoir soit de la défendre avec la plus grande insistance et de l'appuyer par des preuves empiriques qui touchent chacun de près.
Le premier, c'est lorsqu'elle a appris que notre Terre n'était pas le centre de l'univers, mais seulement un minuscule fragment d'un système cosmique d'une immensité à peine imaginable.
Le second, c'est lorsque la recherche biologique a privé l'homme de son privilège particulier d'avoir été créé spécifiquement et l'a relégué au rang de descendant du monde animal, impliquant en lui une nature animale indéracinable, ce qui a suscité la plus violente opposition contemporaine.
Mais le désir de grandeur de l'homme subit aujourd'hui le troisième et le plus cruel coup porté par la recherche psychologique actuelle, qui s'efforce de prouver à l'ego de chacun qu'il n'est même pas maître chez lui, mais qu'il doit se contenter des plus infimes informations sur ce qui se passe inconsciemment dans son esprit.
Nous, psychanalystes, n'avons été ni les premiers ni les seuls à proposer à l'humanité de se tourner vers l'intérieur ; mais il semble que notre devoir soit de la défendre avec la plus grande insistance et de l'appuyer par des preuves empiriques qui touchent chacun de près.
Sigmund Freud,
Leçons d'introduction à la psychanalyse
samedi 5 juillet 2025
Le visage d’un de nos frères d’il y a 17 000 ans
Un visage d’un de nos ancêtres dessiné sur la paroi de la Grotte de Bernifal en France qui nous regarde encore depuis plus de 15 000 ans avant notre ère (17 000 ans alors).
Bikini ?
Le 7 juillet 1946, le monde découvrait le bikini moderne à la Piscine Molitor à Paris. Conçu par Louis Réard, ce bikini fit tant de bruit à l'époque que Réard dut engager Micheline Bernardini, une danseuse nue, pour le porter. Le maillot de bain fut baptisé d'après l'atoll de Bikini, où les essais nucléaires venaient de commencer, reflétant son impact explosif sur la mode.
La création de Réard, composée de seulement 76 cm² de tissu, bouscula les codes de pudeur de l'époque. Malgré les interdictions initiales et les critiques de plusieurs pays, dont le Vatican, qui le qualifiaient de péché, le bikini devint finalement une icône de liberté et d'audace, remodelant à jamais le maillot de bain. Autrefois controversé, ce deux-pièces allait devenir un incontournable de la mode balnéaire.
La création de Réard, composée de seulement 76 cm² de tissu, bouscula les codes de pudeur de l'époque. Malgré les interdictions initiales et les critiques de plusieurs pays, dont le Vatican, qui le qualifiaient de péché, le bikini devint finalement une icône de liberté et d'audace, remodelant à jamais le maillot de bain. Autrefois controversé, ce deux-pièces allait devenir un incontournable de la mode balnéaire.
Je parie que le Vatican trouverait ce « bikini » très convenable maintenant.
Cette église qui se prend pour Dieu et se mêle de tout devrait cesser de déconsidérer son Dieu en exprimant son opinion sur ce qui ne la regarde pas, et surtout en en changeant incessamment.
Quelss tupides prélats la dirigent !
vendredi 4 juillet 2025
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