Ce n'est pas à un film plein de suspense (qui se passait à New York ?) que le titre de cette note fait allusion, c'est à l'Empire State Building et aux épreuves qu'il faut traverser pour arriver au 86e étage où il y a la terrasse qui permet d'observer New York et ses environs de haut.
Pour arriver là nous avons dû mes compagnes et compagnon (il y en avait un seul de mon groupe) et moi vivre une expérience qui m'a fait penser à celle des bestiaux en route pour l'abattoir ou à celle des Juifs pressés par les gardes nazis vers les chambres à gaz (j'ai évidemment tendance à exagérer mais comme Québécois je ne suis pas habitué aux grandes foules et à leurs mouvements dirigés par des voix de fer).
Des milliers de personnes, dans des milliers de chicanes, participant à d'infinies queues, pressées par des « hurry up ! » impolis et par des gardiens occupés seulement à les faire mouvoir et à les évacuer au plus tôt.
Des chicanes non seulement pour entrer, non seulement pour monter, non seulement pour atteindre l'observatoire, mais aussi pour sortir, descendre, atteindre la sortie du bâtiment.
Des cris, des inconforts, l'absence de lumières : une expérience digne de l'enfer et des damnés.
D'où la « Tour infernale » du titre.
Évidemment il y a des explications (c'était dimanche, c'était le weekend du Columbus Day (page en anglais au bout de ce lien), il faisait beau, etc.).
Mais il n'y a pas d'excuse à l'impolitesse.
En plus l'observatoire ressemble à une cage à poules (ou à bestiaux ?). Voyez :
Pour arriver là nous avons dû mes compagnes et compagnon (il y en avait un seul de mon groupe) et moi vivre une expérience qui m'a fait penser à celle des bestiaux en route pour l'abattoir ou à celle des Juifs pressés par les gardes nazis vers les chambres à gaz (j'ai évidemment tendance à exagérer mais comme Québécois je ne suis pas habitué aux grandes foules et à leurs mouvements dirigés par des voix de fer).
Des milliers de personnes, dans des milliers de chicanes, participant à d'infinies queues, pressées par des « hurry up ! » impolis et par des gardiens occupés seulement à les faire mouvoir et à les évacuer au plus tôt.
Des chicanes non seulement pour entrer, non seulement pour monter, non seulement pour atteindre l'observatoire, mais aussi pour sortir, descendre, atteindre la sortie du bâtiment.
Des cris, des inconforts, l'absence de lumières : une expérience digne de l'enfer et des damnés.
D'où la « Tour infernale » du titre.
Évidemment il y a des explications (c'était dimanche, c'était le weekend du Columbus Day (page en anglais au bout de ce lien), il faisait beau, etc.).
Mais il n'y a pas d'excuse à l'impolitesse.
En plus l'observatoire ressemble à une cage à poules (ou à bestiaux ?). Voyez :
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