
C'est ce que j'appelle une action de révolution tranquille.
Un «recours collectif» gagné contre une entreprise (ou une organisation quelconque, publique, parapublique, gouvernementale ou privée) forcerait dorénavant celle-ci à vérifier deux fois (ou plus) la compétence des personnes qu'elle engage (pour que celles-ci la rendent plus rentable, par exemple, en «dégraissant» son personnel).
Et à faire hautement mériter à celles-ci les rémunérations, primes et suppléments qu'elle leur verse sans raison maintenant (quand on constate l'incompétence universelle, génératrice de la crise actuelle, des personnes qu'elles emploient à présent).
Un «recours collectif» gagné contre une entreprise (ou une organisation quelconque, publique, parapublique, gouvernementale ou privée) forcerait dorénavant celle-ci à vérifier deux fois (ou plus) la compétence des personnes qu'elle engage (pour que celles-ci la rendent plus rentable, par exemple, en «dégraissant» son personnel).
Et à faire hautement mériter à celles-ci les rémunérations, primes et suppléments qu'elle leur verse sans raison maintenant (quand on constate l'incompétence universelle, génératrice de la crise actuelle, des personnes qu'elles emploient à présent).
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