mercredi 7 octobre 2009

La Solution à beaucoup de problèmes

J'ai toujours eu des soupçons à propos du travail (surtout à propos du travail que l'on n'aime pas) mais ces soupçons se confirment si j'en crois cette nouvelle publiée dans Le Figaro il y a quelques jours ():

Une étude publiée hier dans les Comptes rendus de l'Académie des sciences américaine (sic) montre en effet que, durant la Grande Dépression qui a frappé les États-Unis en 1929, la longévité des Américains (sic) a fait un bond inattendu [...]. Elle est passée de 57 ans en moyenne en 1929 à un peu plus de 63 ans en 1932. À l'inverse elle a diminué au cours des périodes de forte expansion économique avant la Grande Dépression et en 1936-1937. Pour les deux auteurs de l'étude, José Tapia Granados et Ana Diez Roux, de l'Université du Michigan, cette embellie pourrait notamment s'expliquer par une baisse de la consommation d'alcool et de tabac due au chômage ainsi qu'une diminution de la pollution industrielle.

L'étude dont il est question ne semble porter que sur le travail en milieu industriel. Si l'on en faisait d'autres sur le travail de bureau (et son stress), je suis sûr que le déficit de longévité serait multiplié par deux (au moins).
Avant d'entreprendre de coûteuses recherches sur les gènes ou les médicaments pour allonger la vie on pourrait peut-être en faire à bon prix sur les conditions de travail et sur le travail en général.
En tous cas l'étude dont parle
Le Figaro dit bien que la réduction du temps de travail ou, tout simplement, la fermeture d'usine diminue la pollution industrielle.
Plutôt que de faire (encore là) de coûteuses recherches pour diminuer la pollution produite par les usines, fermons-les.
Et si l'on ferme les administrations, on réduira la pollution automobile.
C'est là (pour aujourd'hui) ma contribution à l'accroissement de la longévité de la vie humaine
.
Même les chats pourraient bénéficier de telles mesures (s'ils travaillaient), voyez:


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