Il y a déjà presque deux ans (en janvier 2008), parlant de ce que j'appelais la «forme concerto», cette forme de dialogue musical où un instrument soliste (fût-ce un être humain, cet instrument) échange avec un ensemble d'autres instruments, -orchestre, petit ensemble quelconque, ou même un seul instrument d'accompagnement si l'instrument soliste est un être humain-, j'évoquais cette chanson de Frida Boccara dont je vous citais les paroles d'Eddy Marnay.
Je l'avais intitulée «L'Année où Piccoli jouait "Les Choses de la vie"», cette chanson (je sais maintenant que le titre véritable est «Un collier d'amour»).
Je vous la fais entendre et je vous présente à nouveau les paroles qui, associées à la musique de Télémann, m'émeuvent tant puisque ma jeunesse est à jamais perdue comme la vôtre le sera bientôt ou l'a été déjà, hélas!
Je l'avais intitulée «L'Année où Piccoli jouait "Les Choses de la vie"», cette chanson (je sais maintenant que le titre véritable est «Un collier d'amour»).
Je vous la fais entendre et je vous présente à nouveau les paroles qui, associées à la musique de Télémann, m'émeuvent tant puisque ma jeunesse est à jamais perdue comme la vôtre le sera bientôt ou l'a été déjà, hélas!
On s'aimait tendrement
Et c'était l'été
Qui mourait au moment
Où tu m'as quittée
Cette année où Piccoli
Jouait "Les choses de la vie"
Toute ma vie
Je m'en souviendraiLe quinze août à Paris
Nous nous inventions
Des Bretagne de pluie
Près du Panthéon
A cinq heures du matin
On prenait le Quartier Latin
À coup de rires
À coup de violons
On s'aimait tendrement
Et c'étaient nos cœurs
Qu'un avion dessinait
Dans le ciel en fleurs
Et la salle était triste
Quand nos mains s'unirent
Sur l'écran on voyait
Piccoli mourir
C'est toujours pour les autres
Que tout doit finir
Pour nous le monde était jeune
Et Paris nous appartenait
Dans le ciel un avion dansait
Pourtant ces mots
Venus d'ailleurs
Je t'aime
Je t'aime
Me faisaient peur
Et septembre
Septembre
Comptait nos heures
On s'aimait tendrement
Et c'était l'été
Qui mourait au moment
Où tu m'as quittée
Cette année où Piccoli
Jouait "Les choses de la vie"
Toute ma vie
Je m'en souviendrai
Et je porte depuis
Comme un grand collier
Cet amour infini
Que tu m'as donné
Surtout ne regrette rien
Puisqu'en sortant de mon chemin
Tu m'as laissé
Un collier d'amour.
Et c'était l'été
Qui mourait au moment
Où tu m'as quittée
Cette année où Piccoli
Jouait "Les choses de la vie"
Toute ma vie
Je m'en souviendraiLe quinze août à Paris
Nous nous inventions
Des Bretagne de pluie
Près du Panthéon
A cinq heures du matin
On prenait le Quartier Latin
À coup de rires
À coup de violons
On s'aimait tendrement
Et c'étaient nos cœurs
Qu'un avion dessinait
Dans le ciel en fleurs
Et la salle était triste
Quand nos mains s'unirent
Sur l'écran on voyait
Piccoli mourir
C'est toujours pour les autres
Que tout doit finir
Pour nous le monde était jeune
Et Paris nous appartenait
Dans le ciel un avion dansait
Pourtant ces mots
Venus d'ailleurs
Je t'aime
Je t'aime
Me faisaient peur
Et septembre
Septembre
Comptait nos heures
On s'aimait tendrement
Et c'était l'été
Qui mourait au moment
Où tu m'as quittée
Cette année où Piccoli
Jouait "Les choses de la vie"
Toute ma vie
Je m'en souviendrai
Et je porte depuis
Comme un grand collier
Cet amour infini
Que tu m'as donné
Surtout ne regrette rien
Puisqu'en sortant de mon chemin
Tu m'as laissé
Un collier d'amour.
2 commentaires:
J'adore cette chanson aussi. Merci Jacques.
le vrai titre est bien "l'année où Piccoli" ...
Je suis la présidente du club FRIDA BOCCARA
merci pour votre blog !!!
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