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L'état le plus facile dans ces trois états qu'adopte l'être humain c'est l'état de « tube digestif ».
Il est difficile de ne plus pouvoir manger ou boire et de laisser ensuite agir son corps sur la nourriture et la boisson absorbées (ou vice-versa ?).
Quand on ne le peut plus on est vraiment très près de la mort.
C'est la raison pour laquelle, à notre époque (peut-être à toutes mais je ne puis le vérifier), la plupart des humains restent résolument des « tubes digestifs » mais des « tubes digestifs » avariés, d'où leur taille qui les rend presque aussi larges que hauts parfois, dans certain pays que les autres s'empressent d'imiter en faisant un triomphe aux distributeurs de malbouffe que leur modèle a concoctés et qu'il répand sur toute la surface du globe sous prétexte de libération.
Vous savez à qui je fais allusion (McDonald, Kraft, Cadbury, Kentuky Fried Chicken, et j'en passe et j'en passe).
L'état de « sexe » est plus difficile à conserver toute sa vie pour un humain et compte par conséquent moins d'adeptes réels. Il a surtout des adeptes virtuels. On a bien mis au point viagra, cialis, levitra mais, somme toute, nourriture et boisson ont un meilleur rapport résultats-prix.
Quant à l'état de « cerveau », je n' ai pas vraiment rencontré d'humain qui l'adoptait très fort.
D'où l'hésitation de José Artur (« l'homme (...) est un cerveau parfois »).
Dont j'écoutais l'émission le « Pop-Club » sur France-Inter quand je vivais en France.
Je regrette de ne pas l'avoir entendue plus longtemps car elle était bien brillante et bien irrévérencieuse.
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