Confucius exagère un peu, car même dans un travail qu'on aime, il y a des aspects qu'on n'aime pas et qui, si vous me permettez cette expression un peu vulgaire, nous font «suer».
Mais ces aspects sont ceux qui font davantage fonctionner notre machine à penser et à découvrir, de telle sorte que ce sont ces aspects de notre travail qui sont les plus féconds.
Un travail qu'on aime est tout de même un travail, et, comme tout ce qu'on aime, il est soumis aux aléas du désir: on aime parfois changer d'objet d'amour.
Je peux en témoigner, moi qui ai exercé le plus intéressant métier du monde.
mercredi 10 février 2010
Le travail
heure 13:32:00
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