Il est évident que le docteur Schweitzer ne vivait pas à l'ère de l'informatique, où le moindre logiciel se multiplie par le nombre que l'on veut quand on le partage.
Cela constitue-t-il un argument de plus en faveur du partage?
Je ne saurais vous dire.
Les auteurs de logiciels, s'ils ne distribuent pas gratuitement leurs œuvres, répondraient sans doute non.
Les bénéficiaires du partage répondraient sans doute oui.
Mais le partage dans ce cas est du vol.
Quant au bonheur, il fait aussi des envieux parmi ceux qui ne l'éprouvent pas, qu'il rend par conséquent malheureux.
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