à l'article du Nouvel Observateur)
On s'étonne que cette minable descendante de bagnards (c'est Germaine Greer pour ceux qui ne l'auraient pas reconnue) avoue ainsi, sans qu'on ne la presse d'aucune façon et avec une foudroyante(?) candeur, préférer visiter des proches atteints de démence plutôt que de lire la «Recherche du temps perdu» (qu'elle semble avoir tenté de lire dans les traductions anglaises, sa cervelle (a-t-elle un cerveau?) étant sans doute trop petite pour qu'elle connaisse d'autres langues que celle-là -ce qui (cercle vicieux) est peut-être la cause de la petitesse de sa cervelle).
Puis on s'avise de ceci: en avouant qu'elle a des proches atteints de démence elle avoue en même temps que la maladie est à l'œuvre chez elle (peut-être depuis très longtemps si l'on s'en fie à ses briques indigestes et erratiques) et que c'est pour cette «raison» qu'elle est si démunie et qu'elle est incapable de lire «la Recherche».
Peut-être la démence a-t-elle même atteint un stade ultime puisqu'elle se plaît en compagnie de ses proches qui en sont victimes plutôt qu'à des activités moins primaires: qui se rassemble se ressemble!
Pour ne pas pouvoir accomplir l'une et l'autre activité, il faut que son état soit bien précaire.
On doit aussi signaler qu'elle aimait se trouver en compagnie de Brigitte Nielsen (l'ex de Silvester Stallone) et de la mère de ce Silvester Stallone, dans une téléréalité britannique.
Des gens qui ressemblent à ses proches déments, ou les proches déments dont elle apprécie la compagnie eux-mêmes?
Cela est sans doute une autre indication du degré qu'a atteint sa maladie.
Évidemment on n'est pas responsable d'une telle maladie quand elle nous atteint mais pourquoi la rendre ainsi publique?
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