Derrière ce retrait diplomatique (l'heureuse nouvelle est ici), il y a une défaite, et une défaite méritée.
Divine surprise pour moi, qui me permet de croire maintenant qu'il existe une justice immanente qui s'applique à ceux qui mènent une politique inane aussi bien au point de vue des changements climatiques qu'en ce qui concerne les opérations militaires israéliennes, qu'en ce qui concerne les politiques étasuniennes sous Bush ou qu'en ce qui concerne la protection de leurs compatriotes à l'étranger.
Le Canada est dirigé depuis trois ou quatre ans par un sous-Bush à retardement et par ses sbires idiots, en provenance, pour la plupart, comme Bush et ses propres sbires, des stupides terres de l'Ouest: il ne fait pas partie du monde occidental (il fait partie du monde des cowboys et des boutefeux plutôt, le nez dans leur bouse bitumineuse), le monde occidental n'a donc pas pu le choisir pour le représenter à titre de membre non permanent du Conseil de sécurité de l'ONU.
Quand on déplaît au monde entier, y compris à ses alliés les plus proches (les États-Unis d'Obama, -regardez ici le regard méprisant d'Hillary Clinton au ministre des Affaires étrangères canadien qui vient de subir la défaite à l'ONU*), on ne peut pas se plaindre de voir que ses ennemis -plus nombreux que jamais- votent contre soi.
* Voyez-le ici, il est trop significatif (qu'il est malheureux que ce regard ne lance pas un rayon mortel):
mardi 12 octobre 2010
La divine surprise d'une défaite méritée
heure 14:05:00
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