Voici une œuvre que son auteur -Timm Ulrichs (page en anglais au bout de ce lien)- rangerait sans doute parmi la « poésie concrète ».
C'est une sorte de dessin qui utilise la lettre latine « e » en lui imposant de tourner sur elle-même.
(Vous et moi utilisons l'alphabet latin, l'ignoriez-vous ? Comme la plupart des Occidentaux. À peu près seuls les Grecs ne le font pas. Mais sont-ils des Occidentaux ? Les Grecs étaient-ils des Occidentaux ? Si oui, le sont-ils encore après la domination ottomane ? Et les Russes et autres utilisateurs de l'alphabet cyrillique ? On pourrait se poser les questions).
C'est l'équivalent des arabesques, lesquelles utilisent l'alphabet (arabe évidemment) pour produire des œuvres d'art ou des motifs décoratifs.
Pour ma part, et si le terme « lettrisme » n'était pas utilisé dans un autre sens, je dirais que c'est une poésie lettriste.
Mieux: un dessin lettriste.
En voici un autre -avec «o» et «r» cette fois- de Mathias Goeritz:
C'est une sorte de dessin qui utilise la lettre latine « e » en lui imposant de tourner sur elle-même.
(Vous et moi utilisons l'alphabet latin, l'ignoriez-vous ? Comme la plupart des Occidentaux. À peu près seuls les Grecs ne le font pas. Mais sont-ils des Occidentaux ? Les Grecs étaient-ils des Occidentaux ? Si oui, le sont-ils encore après la domination ottomane ? Et les Russes et autres utilisateurs de l'alphabet cyrillique ? On pourrait se poser les questions).
C'est l'équivalent des arabesques, lesquelles utilisent l'alphabet (arabe évidemment) pour produire des œuvres d'art ou des motifs décoratifs.
Pour ma part, et si le terme « lettrisme » n'était pas utilisé dans un autre sens, je dirais que c'est une poésie lettriste.
Mieux: un dessin lettriste.
En voici un autre -avec «o» et «r» cette fois- de Mathias Goeritz:
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