Il y a tant de styles architecturaux à Rome, tant de styles artistiques, en particulier le style baroque (ce serait le style gréco-romain si presque tous les bâtiments de ce style n'avaient été grugés et rongés (comme par des rats) pour édifier les autres), qu'on est étonné d'y rencontrer parfois, comme perdue, une manifestation du style « art nouveau », telle cette porte de restaurant ici, via Sediari, entre la Piazza Navone et le Panthéon (c'est du moins là que nous l'avons croisée en passant de l'une à l'autre).
Elle frappe d'autant plus.
Elle date sans doute de l'époque de Pirandello qui écrivait « À chacun sa vérité » pour contredire, peut-être, le sot à triple couronne qui persécute de sa « vérité » la ville et le monde depuis tant de siècles.
Elle frappe d'autant plus.
Elle date sans doute de l'époque de Pirandello qui écrivait « À chacun sa vérité » pour contredire, peut-être, le sot à triple couronne qui persécute de sa « vérité » la ville et le monde depuis tant de siècles.
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