Ce sont deux photos (délinquantes, c'est-à-dire prises malgré l'interdiction de photographier) du plafond de la Chapelle Henry VII de l'Abbaye de Westminster.
On pourrait dire que c'est la chapelle funéraire des Tudor qui y sont tous inhumés, à l'exception d'Henry VIII.
Même la fille catholique de ce dernier, la reine Mary I (dite « la Sanglante » mais pas plus sanglante que les autres Tudor), y est inhumée, dans le même tombeau que sa sœur Élizabeth I.
La chapelle a été voulue par le premier d'entre eux, Henry VII, qui se prétendait héritier des Lancastre, par sa mère.
Il a senti le besoin d'assurer sa légitimité et celle de sa dynastie, en épousant la nièce de Richard III, Élisabeth d'York.
Le plafond forme une voûte en éventail, manifestation du gothique perpendiculaire, particulièrement populaire en Angleterre avant la Renaissance.
C'est ici que l'on voit l'art médiéval tardif de l'Occident rejoindre, par certains aspects, l'art de l'Orient arabe ou persan.
On pourrait dire que c'est la chapelle funéraire des Tudor qui y sont tous inhumés, à l'exception d'Henry VIII.
Même la fille catholique de ce dernier, la reine Mary I (dite « la Sanglante » mais pas plus sanglante que les autres Tudor), y est inhumée, dans le même tombeau que sa sœur Élizabeth I.
La chapelle a été voulue par le premier d'entre eux, Henry VII, qui se prétendait héritier des Lancastre, par sa mère.
Il a senti le besoin d'assurer sa légitimité et celle de sa dynastie, en épousant la nièce de Richard III, Élisabeth d'York.
Le plafond forme une voûte en éventail, manifestation du gothique perpendiculaire, particulièrement populaire en Angleterre avant la Renaissance.
C'est ici que l'on voit l'art médiéval tardif de l'Occident rejoindre, par certains aspects, l'art de l'Orient arabe ou persan.
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