Bûches de Fête

C'est ce soir Noël.
Non pas la fête de la Nativité de Jésus-Christ comme cela est censé être (c'est seulement un prétexte de nos jours, mais c'est de bonne guerre car Jésus le Nazaréen n'est en vérité pas né ce jour-là mais au printemps: les autorités chrétiennes ont mensongèrement déplacé sa naissance pour qu'elle coïncide avec une populaire fête païenne: la véritable fête, la fête païenne revient donc!).
C'est la Fête de la boustifaille*!
J'ai trouvé un diaporama de bûches (ici) dans Madame Figaro.
Je vous en présente quelques-unes puisque ce sont les objets véritables de la fête de Noël.
La première ci-haut est celle d'Éric Kayser, c'est la bûche léopard. Voici sa description:

Cette création renferme un biscuit chocolat, une mousse de chocolat noir du Ghana et une crème brûlée au café d’Éthiopie.

Voici les trois autres que je désire vous présenter avec le nom de leur auteur et leur description:

De Philippe Segond,  ce Cadeau Poire Caramel. Un dessert façon entremet composé d'un biscuit aux amandes, d'une mousse de poire et dés de poires caramélisées, ainsi que d'une mousse caramel au beurre salé.

De Pierre Hermé, la bûche Ella:  un biscuit au citron et à l’huile d’olive, une crème mousseline du même agrume et une compote de fruits rouges crus et cuits pour twister les sensations.

De Thierry Mulhaupt, la bûche Black Edition Ampama : biscuit au chocolat imbibé de vanille bourbon de Madagascar et crémeux au chocolat Ampamakia au poivre sauvage de Madagascar Voantsi Perifery.


On ne risque pas sa santé à les dévorer des yeux. 
Joyeuse Fête de la boustifaille!
Vous voulez en dévorer d'autres? Allez ici!

* Le fait que le symbole le plus populaire de cette fête soit ce type barbu et obèse vêtu de rouge et qui s'appelle, vous le savez, le «Père Noël», du nom même de la fête, confirme largement la justesse de mon affirmation.