dimanche 4 décembre 2011

L'amour et la vie libres

C'est un proverbe persan.
Quelle condamnation des mœurs musulmanes, voire de mœurs aussi paléolithiques que celles-là, comme celles qui sont préconisées par l'hindouisme !
Il date probablement d'avant la charia et de toutes les niaiseries religieuses de ce genre.
Ou, sinon, il provient de minorité intellectuelle d'incroyants comme le poète Omar Khayyām, qui aimait le vin et ne se préoccupait guère des sourates du Coran, comme toute personne bien inspirée.
C'est lui qui écrivait (qui oserait le faire aujourd'hui dans l'enfer des ayatollahs et de la république islamique, voire dans les pays où l'on perd sa vie sous le joug de la
charia ?) :

Au printemps, je vais quelquefois m'asseoir à la lisière d'un champ fleuri.
Lorsqu'une belle jeune fille m'apporte une coupe de vin, je ne pense guère à mon salut.
Si j'avais cette préoccupation, je vaudrais moins qu'un chien.

Ou bien :

Autrefois, quand je fréquentais les mosquées,
je n'y prononçais aucune prière,
mais j'en revenais riche d'espoir.
Je vais toujours m'asseoir dans les mosquées,
où l'ombre est propice au sommeil.

Ah! si on pouvait être libéré des frauduleux et ineptes messages présentés par des profiteurs et des crypto-politiciens comme provenant d'un Dieu, alors que ce sont leurs méprisables paroles et leurs minables pensées qu'ils prêtent de manière sacrilège à celui-ci !

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