Je n'ai pas le temps de faire des billets élaborés aujourd'hui: entraînement ce matin, travaux dans le sous-sol après-midi, dîner en ville ce soir.
Je n'ai plus que le temps de ce billet court.
Voici deux états d'une plaque de rue de Madrid, dont je ne vous avais pas présenté d'exemplaire depuis longtemps malgré l'admiration que j'ai pour elles.
Vous voyez la supériorité esthétique de la plus récente (celle du haut).
Est-ce la raison de l'endettement faramineux de l'Espagne?
Si oui, cela valait la peine.
Vive la rue de l'Oliveraie.
À bas les spéculateurs! Qu'on leur coupe vous savez quoi.
jeudi 8 décembre 2011
Calle del Olivar
heure 16:49:00
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