Les « gâteries » de Paris et de New York selon le livre « Paris vs New York » de Vahram Muratyan paru aux Éditions 10-18 dont je vous ai déjà parlé, entre autres, dans ce billet (ici).
J'aime bien les macarons que j'ai découverts en France mais les « petits gâteaux » je les préfère et de loin* (c'est ainsi qu'on appelait les « cup cakes » dans ma famille quand j'étais petit et peut-être dans tout le Québec).
Ma grand-mère Saint-Pierre en confectionnait des milliers à Chambord -avec toutes sortes de décorations multicolores et argentées ou dorées (comme celles que vous voyez dans l'image)- qu'elle distribuait à tout le monde quand on allait la visiter, et qu'elle nous apportait par milliers quand elle venait nous visiter.
Ma grand-mère Bouchard faisait de même à Jonquière.
Ma mère et toutes les mères de mes amis (voire les sœurs de ceux-ci) ajoutaient les leurs.
C'était une sorte de « sport » national.
C'est à qui feraient les plus originalement décorés.
Tout cela pendant le temps des Fêtes, c'était la tradition.
Ah! que j'en ai mangé des « petits gâteaux » et que je suis new-yorkais (de langue française) dans cette perspective.
Tout cela méritera son salaire un jour (je veux dire : se payera par un abrègement de ma vie vers la fin de celle-ci) mais pourquoi le regretter ?
Les derniers jours d'une vie ne valent pas le moindre « petit gâteau » !
* Mais je n'en mange plus car toutes celles qui les confectionnaient sont disparues hélas. Du moins dans ma famille.
J'aime bien les macarons que j'ai découverts en France mais les « petits gâteaux » je les préfère et de loin* (c'est ainsi qu'on appelait les « cup cakes » dans ma famille quand j'étais petit et peut-être dans tout le Québec).
Ma grand-mère Saint-Pierre en confectionnait des milliers à Chambord -avec toutes sortes de décorations multicolores et argentées ou dorées (comme celles que vous voyez dans l'image)- qu'elle distribuait à tout le monde quand on allait la visiter, et qu'elle nous apportait par milliers quand elle venait nous visiter.
Ma grand-mère Bouchard faisait de même à Jonquière.
Ma mère et toutes les mères de mes amis (voire les sœurs de ceux-ci) ajoutaient les leurs.
C'était une sorte de « sport » national.
C'est à qui feraient les plus originalement décorés.
Tout cela pendant le temps des Fêtes, c'était la tradition.
Ah! que j'en ai mangé des « petits gâteaux » et que je suis new-yorkais (de langue française) dans cette perspective.
Tout cela méritera son salaire un jour (je veux dire : se payera par un abrègement de ma vie vers la fin de celle-ci) mais pourquoi le regretter ?
Les derniers jours d'une vie ne valent pas le moindre « petit gâteau » !
* Mais je n'en mange plus car toutes celles qui les confectionnaient sont disparues hélas. Du moins dans ma famille.
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