Parmi les 12 affiches «minimalistes» portant sur les contes d'enfant que présente Topito ce matin (ici), c'est celle d'«Alice au pays des merveilles» -que vous voyez ci-dessus- que j'aime le plus.
Cette belle lune horizontale que je crois apercevoir parfois dans le ciel (jamais aussi horizontale qu'ici mais je pallie par l'imagination le manque d'horizontalité) c'est pour moi pour toujours les grand sourire du chat du Cheshire.
Un sourire que je vous adresse ce matin au début de cette journée très chargée où je vais voir au cinéma Jonquière la représentation en direct de l'opéra «Rodelinda» de Haendel (en provenance du Metropolitan Opera).
Un sourire qui remplace peut-être un billet absent avant-midi (mais peut-être trouverai-je le temps d'en rédiger un petit).
Il y a ce poème surréaliste (anglais-français) dit du Jabberwocky que le chat entonne dont je m'en voudrais de ne pas vous présenter les paroles de la première strophe:
Twas brillig, and the slithy toves | Fleurpageons les rhododendroves |
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