Par le discours de cet ancien responsable des exorcismes au Vatican, jugez du niveau intellectuel de ceux qui dirigent ou hantent le centre de l'Église catholique romaine (les Québécois y connaissent l'ancien archevêque de Québec, membre de la Curie, et savent déjà que ni l'esprit ni le Saint-Esprit, si tant est qu'une telle colombe existe, n'y volent très haut).
Voici (une partie de) ce discours, selon l'article de Yahoo Québec (ici) :
[C]eux qui pratiquent la très dangereuse activité qu’est le yoga ouvrent leurs esprits et leurs corps à Satan. Car on sait tous que poser de tels gestes conduit vers l’hindouisme, une religion basée sur le principe de la réincarnation.
Et il dit cela sans rire ajoute l'auteur de l'article.
Le yoga conduisant aux croyances hindouistes sur la réincarnation* et, par conséquent, à Satan.
C'est comme s'il disait que la manipulation du chapelet par les Chrétiens pourrait conduire ceux-ci (au choix) à l'hindouisme (puisque ce sont les Indiens qui ont commencé à utiliser ce qu'ils appelaient un «collier de graines» pour réciter des prières à leurs dieux), ou au bouddhisme (qui a adopté le collier de graines des Hindous) voire à l'Islam puisque l'on voit encore aujourd'hui les Musulmans réciter des « soubhan allah » sur un « chapelet » de 99 grains.
Je ne vous répète pas ce qu'il dit d'Harry Potter, j'ai assez consacré de travail de mes doigts à ce curé stupide (comme tous les autres) aujourd'hui.
Songez que virtuellement un milliard d'êtres humains obéissent aux commandements des confrères toujours en fonction de ce personnage inane.
(Vous voulez savoir son nom? Il s'agit de Gabriele Amorth, un Italien né à Modène, qui bénéficie sur Wikipédia, d'un article écrit sans doute par un ancien (?) possédé ayant bénéficié jadis de ses services (sévices) d'exorciste).
* La résurrection des morts que suivra le «Jugement dernier» des croyances chrétiennes (et juives, et musulmanes) n'aboutira-t-elle pas elle-même à une sorte de réincarnation des morts, certains voyant leur pauvre corps voué aux tortures éternelles tandis qu'on ne sait trop quelles délices seront distribuées au corps des autres (la rumeur veut que ce soit des délices sexuelles: une éternelle «petite mort» pour les élus ressuscités?).
Voici (une partie de) ce discours, selon l'article de Yahoo Québec (ici) :
[C]eux qui pratiquent la très dangereuse activité qu’est le yoga ouvrent leurs esprits et leurs corps à Satan. Car on sait tous que poser de tels gestes conduit vers l’hindouisme, une religion basée sur le principe de la réincarnation.
Et il dit cela sans rire ajoute l'auteur de l'article.
Le yoga conduisant aux croyances hindouistes sur la réincarnation* et, par conséquent, à Satan.
C'est comme s'il disait que la manipulation du chapelet par les Chrétiens pourrait conduire ceux-ci (au choix) à l'hindouisme (puisque ce sont les Indiens qui ont commencé à utiliser ce qu'ils appelaient un «collier de graines» pour réciter des prières à leurs dieux), ou au bouddhisme (qui a adopté le collier de graines des Hindous) voire à l'Islam puisque l'on voit encore aujourd'hui les Musulmans réciter des « soubhan allah » sur un « chapelet » de 99 grains.
Je ne vous répète pas ce qu'il dit d'Harry Potter, j'ai assez consacré de travail de mes doigts à ce curé stupide (comme tous les autres) aujourd'hui.
Songez que virtuellement un milliard d'êtres humains obéissent aux commandements des confrères toujours en fonction de ce personnage inane.
(Vous voulez savoir son nom? Il s'agit de Gabriele Amorth, un Italien né à Modène, qui bénéficie sur Wikipédia, d'un article écrit sans doute par un ancien (?) possédé ayant bénéficié jadis de ses services (sévices) d'exorciste).
* La résurrection des morts que suivra le «Jugement dernier» des croyances chrétiennes (et juives, et musulmanes) n'aboutira-t-elle pas elle-même à une sorte de réincarnation des morts, certains voyant leur pauvre corps voué aux tortures éternelles tandis qu'on ne sait trop quelles délices seront distribuées au corps des autres (la rumeur veut que ce soit des délices sexuelles: une éternelle «petite mort» pour les élus ressuscités?).
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