vendredi 24 septembre 2010

Il vaut mieux être mort que mort-vivant

Vieillesse, alzheimer, et espérance de vie: c'est l'équation à trois termes qui nous inquiète, nous, les habitants des pays où l'espérance de vie dépasse 75 ou 80 ans.
Évidemment, en ce qui concerne le financement des maladies, tout dépend de l'organisation de l'assurance-maladie dans chacun de ces pays.
Je crois que ce n'est pas un problème au Québec, car l'assurance-maladie y est indépendante des revenus de retraite.
Le problème est la maladie elle-même qui vous transforme en mort-vivant.
À quoi servent des revenus pour des morts-vivants?

Peut-être faudrait-il que l'espérance de vie soit moins longue à défaut de médicaments ou de traitement pour cette maladie effroyable.

Il vaut mieux être mort que mort-vivant.


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