Ce sont des publicités italiennes qui ont été censurées récemment en Angleterre.
N'écoutant que ma pulsion idéologique anti-censure je vous les présente donc.
Si cela pouvait briser l'autorité que les personnes représentées exercent sur les autres et dont elles profitent indûment, cela serait déjà bien.
Comme Québécois -dont la société a longtemps subi la dictature religieuse de l'Église catholique, comme la société italienne- je suis à même de ressentir le « sacrilège » et le plaisir qu'il soit commis.
J'ajoute que je comprends les personnages d'en venir aux extrémités sexuelles où ils en viennent pour déguster le « gelato ».
Je ne sais pas si la marque « Antonio Federici » vaut le coup mais le « gelato » qu'on fabrique en boutique partout en Italie le vaut certainement.
Remarquez les trois premières publicités, elles forment comme un petit récit presque complet.
La quatrième est vraiment moderne: un noir, un blanc, prêtres tous deux qui s'apprêtent à s'embrasser pour le « gelato » c'est vraiment moderne (et un peu plus sain, ne trouvez-vous pas? que si on voyait un prêtre adulte s'apprêtant à violer un adolescent pour la même raison, comme la situation s'est répétée si souvent dans l'Église, -disons dans les Églises et partout où des personnes avaient (ou ont) de l'autorité sur les autres).
N'écoutant que ma pulsion idéologique anti-censure je vous les présente donc.
Si cela pouvait briser l'autorité que les personnes représentées exercent sur les autres et dont elles profitent indûment, cela serait déjà bien.
Comme Québécois -dont la société a longtemps subi la dictature religieuse de l'Église catholique, comme la société italienne- je suis à même de ressentir le « sacrilège » et le plaisir qu'il soit commis.
J'ajoute que je comprends les personnages d'en venir aux extrémités sexuelles où ils en viennent pour déguster le « gelato ».
Je ne sais pas si la marque « Antonio Federici » vaut le coup mais le « gelato » qu'on fabrique en boutique partout en Italie le vaut certainement.
Remarquez les trois premières publicités, elles forment comme un petit récit presque complet.
La quatrième est vraiment moderne: un noir, un blanc, prêtres tous deux qui s'apprêtent à s'embrasser pour le « gelato » c'est vraiment moderne (et un peu plus sain, ne trouvez-vous pas? que si on voyait un prêtre adulte s'apprêtant à violer un adolescent pour la même raison, comme la situation s'est répétée si souvent dans l'Église, -disons dans les Églises et partout où des personnes avaient (ou ont) de l'autorité sur les autres).
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