Nous sommes en 2010. Dans cet après Copenhague (et son échec) que nous vivons, cette photo* de Mao entouré de fumées,- qui sont la pourpre et les orfèvreries de ce dictateur et de ses successeurs-, me semble particulièrement significative.
Elle montre en effet que Mao et les Chinois ne sont pas davantage responsables de la destruction de notre planète par la pollution que les capitalistes (et socialistes) occidentaux (nous!) et les bolchéviques russes et est-européens : la photo nous exhibe avec panache (de fumées) que le communisme est un capitalisme comme un autre et qu'il utilise les mêmes recettes que celui-ci (avec un peu (très peu) moins de scrupules dans le recours à la gâchette et au meurtre) pour industrialiser la Terre: celles de l'utilisation du carbone et de la pollution.
Derrière le gros Mao se dissimulent tous les dirigeants de la Terre depuis le début du 19e siècle et, derrière ses « théories » politiques et économiques, toutes celles que nos penseurs ont énoncées depuis ce temps.
* Elle fait partie d'un diaporama Magnum de Slate.fr -intitulé «La Chine enfumée»- que vous trouverez ici.
Elle montre en effet que Mao et les Chinois ne sont pas davantage responsables de la destruction de notre planète par la pollution que les capitalistes (et socialistes) occidentaux (nous!) et les bolchéviques russes et est-européens : la photo nous exhibe avec panache (de fumées) que le communisme est un capitalisme comme un autre et qu'il utilise les mêmes recettes que celui-ci (avec un peu (très peu) moins de scrupules dans le recours à la gâchette et au meurtre) pour industrialiser la Terre: celles de l'utilisation du carbone et de la pollution.
Derrière le gros Mao se dissimulent tous les dirigeants de la Terre depuis le début du 19e siècle et, derrière ses « théories » politiques et économiques, toutes celles que nos penseurs ont énoncées depuis ce temps.
* Elle fait partie d'un diaporama Magnum de Slate.fr -intitulé «La Chine enfumée»- que vous trouverez ici.
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