Après l'épouvantable catastrophe de Port-au-Prince -qui se poursuit encore- j'avoue éprouver beaucoup de difficultés à penser ou à parler ou à écrire.
J'ai donc pensé à vous offrir ce que je pourrais définir comme un silence mais un silence sublime, par Glen Gould au piano, les Variations Goldberg de Jean-Sébastien Bach, celui à qui, selon Cioran, Dieu -s'il existe- doit tant, et en particulier d'exister encore pour quelques-uns.
Voici les 7 première variations, vous pouvez entendre les autres en cliquant sur l'une ou l'autre des icônes qui apparaîtront dans la fenêtre du lecteur de vidéos une fois celles-ci jouées:
Chanson IIIQuand on perd, par triste occurrence,
Son espérance
Et sa gaieté,
Le remède au mélancolique,
C’est la musique
Et la beauté!
Plus oblige et peut davantage
Un beau visage
Qu’un homme armé,
Et rien n’est meilleur que d’entendre
Air doux et tendre
Jadis aimé!
La Musique
La voix sans paroles
La voix sans paroles
Te console et te dit tout
Écoute ton cœur
Battre en elle
Écoute ton cœur
Battre en elle
1 commentaire:
Cet article m'a fait du bien. Merci Jacques.
Mais vous vous faites silencieux..à mon endroit, dernièrement.
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