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Je place simplement, l'un sous l'autre, deux titres de Libération.fr, dont le second est d'une taille plus grande que le premier parce qu'il m'apparaît important, à moi, de souligner qu'un cinéaste (c'est une citation d'Éric Rohmer) considère les mots, le matériau de la littérature (particulièrement de la poésie), comme davantage importants que l'image, le matériau du cinéma.
(Mais le cinéma utilise plusieurs matériaux et l'on peut comprendre que, parmi ceux-ci, Rohmer privilégie les mots)
Dans cette perspective, il reprend les propos de Stéphane Mallarmé et, je crois, de tous les artistes, de tous les créateurs: on ne fait pas de l'art, -ni un poème, ni un roman, ni un tableau, ni une sculpture, ni un film, etc.- avec des idées.
Car le mot c'est le verbe, et le Verbe c'est Dieu
4 commentaires:
Rohmer, on l'aimait ou pas. Moi j'appartiens à la deuxième catégorie. Certes ces scénarios étaient très écrits, mais ils distillaient l'ennui et le vide pour moi. Le rayon vert à cet égard est le pire film de ma vie, à ce jour.Mais quand le mot est roi au cinéma, mais avec une substance.
Les films de Rohmer ne sont pas parmi mes favoris.
Je les trouve bavards.
Mais je ne peux pas parler beaucoup contre les bavards, me comptant indéniablement parmi eux, ce que personne ne contestera.
MDR ! Belle modestie ! Ou lucidité.
Non je ne conteste pas!
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