De l'extérieur de la France, je vois beaucoup de différences entre l'un et l'autre mais en ce qui concerne le nombre de mandats, j'aimerais que les Français répondent oui à la question de Slate.fr (ici).
Un seul mandat pour Sarkozy aussi (pour tous les dirigeants d'ailleurs, quels qu'ils soient. Plus ils restent, plus la puanteur s'installe, comme on le voit au Québec ou dans ma municipalité, Saguenay: après trois mandats, l'odeur y est insupportable).
mardi 16 novembre 2010
Odeur insupportable
heure 22:15:00
9 commentaires:
Filtrer les commentaires c'est un signe de propagande mon cher Jacky Jaco que tu n'aimes où que n'aime pas et bien moi j'aime pas ça!
Vous en avez parfaitement le droit Anonymus-Anonymo.
Mais que vous aimiez ou pas, j'ai parfaitement le droit de publier ce que je veux dans mon blogue si j'aime (ou si je n'aime pas si cela me plaît).
Quant à la propagande, comme vous le voyez, je n'ai pas les moyen d'un Joseph Goebbels, d'un Staline ou d'un ministère des communications: je n'exprime donc que des opinions personnelles car personne ne me paie.
D'ailleurs Anonymus-Anonymo, ne procédez-vous pas un peu de la même manière en faisant en sorte de dissimuler votre lieu de provenance sur la Toile (du moins la ville, pas le pays toujours décelable: qui, en France, se dissimulerait pour naviguer sur la Toile sinon un partisan de Sarkozy?
Selon mes instruments, on désigne à peu près le centre de la France comme étant votre lieu de provenance.
Près de Vichy?
D'autres instruments pointent Montrouge comme ville de provenance: on est plus près de l'antre.
Je vous imagine à toutes les dix minutes en rajouté un peu plus ça doit être drôle à voir!
Et si vos instruments faisaient fausse route et que je serait au Saguenay qu'est-ce qu'en penseriez-vous?
Je tiens à vous dire que j'aime bien vous lire quoi que vous auriez pu penser et derrière l'anonymat il y a plus de paresse qu'autre chose ;o)
Comme vous voyez la réponse a été plus lente cette fois.
Mais votre emploi du conditionnel après «si» et de la troisième personne du singulier après «je» me plonge dans une grande perplexité.
Le faites-vous par exprès pour égarer les soupçons ou ...?
Voilà la question.
J'aime bien vous lire aussi: vous me fouettez les sens ou les sangs.
Effectivement mon conditionnel n'est pas conditionné et mes accords sont désaccordés, mais parfois entre mes erreurs se cache malgré tout un propos.
Ne prenez pas la mouche, je ne suis pas un linguiste, mais un littéraire et, par conséquent, plutôt ami de l'«erreur» linguistique, et de l"erreur en général, qui est souvent féconde et génératrice de nouveautés.
L'état actuel des langues, par exemple, résulte d'erreurs progressivement acceptées (du latin au français notamment).
Je hais la perfection (l'absence d'erreurs) comme je hais Dieu s'il existe, et elle me plonge toujours dans un profond ennui.
Je n'aime que les marques de vie, toujours en déséquilibre: quand l'équilibre est atteint par une chose vivante, quand cette chose est sans fautes, elle est morte (c'est cela la perfection, c'est la mort).
Le conditionnel après «si» était la règle au moment où nos ancêtres français sont arrivés en Nouvelle-France mais il n'est resté d'usage courant qu'au Québec: c'est donc une marque, une marque de québécité, un indice, que j'ai traité comme tel.
Pas pour vous en faire reproche: pour l'utiliser sémiologiquement.
J'aime les «erreurs», elles me font travailler la tête.
La perfection m'endort et m'ennuie.
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