Billet très pertinent aujourd'hui sur le blogue de Denise Pelletier (ici), qui compare la rivalité dans la construction des tours (dont la dernière, la Burj Khalifa, est indéniablement la plus grosse) à la rivalité des garçons en ce qui concerne la taille de leur organe sexuel.
Le rapprochement me semble plein de raison et mériterait peut-être d'être appliqué à d'autres activités qui comportent une rivalité chez les humains (et chez les mammifères en général*).
Peut-être pourrait-on trouver un équivalent du jeu des garçons dans le jeu qui me semble maintenant entraîner les filles dans le sillage des garçons: la taille des seins.
Quand les constructeurs (ou constructrices ?) de bâtiments se lanceront-ils (se lanceront-elles?) dans la course intitulée: « ma coupole est plus grosse que la tienne » (peut-être a-t-elle eu lieu à l'époque baroque)?
* Ou dans la rivalité qui concerne le nom des dieux ou les dieux eux-mêmes: la Malaisie, état musulman, tente depuis quelques temps d'empêcher les Chrétiens d'appeler leur Dieu « Allah », prétendant que ce titre ne s'applique qu'au dieu des Musulmans. Peut-être l'origine polythéiste des Malaisiens (avant qu'ils ne deviennent monothéistes, pour leur plus grand malheur et, peut-être, celui du monde) les trompe-t-elle : s'il n'y a qu'un seul Dieu, pourquoi ne porterait-il pas le même nom dans toutes les religions?
Pauvres Musulmans qui doivent compter les Malaisiens parmi leurs coreligionnaires !
Il est vrai que les religions sont surtout faites pour les « pauvres en esprit » comme le dit si bien la première béatitude du «Sermon sur la montagne» de Jésus-Christ: « Heureux les pauvres en esprit, car le royaume des cieux est à eux ».
J'aimerais bien qu'ils entrent très rapidement en possession de leur royaume.
Le rapprochement me semble plein de raison et mériterait peut-être d'être appliqué à d'autres activités qui comportent une rivalité chez les humains (et chez les mammifères en général*).
Peut-être pourrait-on trouver un équivalent du jeu des garçons dans le jeu qui me semble maintenant entraîner les filles dans le sillage des garçons: la taille des seins.
Quand les constructeurs (ou constructrices ?) de bâtiments se lanceront-ils (se lanceront-elles?) dans la course intitulée: « ma coupole est plus grosse que la tienne » (peut-être a-t-elle eu lieu à l'époque baroque)?
* Ou dans la rivalité qui concerne le nom des dieux ou les dieux eux-mêmes: la Malaisie, état musulman, tente depuis quelques temps d'empêcher les Chrétiens d'appeler leur Dieu « Allah », prétendant que ce titre ne s'applique qu'au dieu des Musulmans. Peut-être l'origine polythéiste des Malaisiens (avant qu'ils ne deviennent monothéistes, pour leur plus grand malheur et, peut-être, celui du monde) les trompe-t-elle : s'il n'y a qu'un seul Dieu, pourquoi ne porterait-il pas le même nom dans toutes les religions?
Pauvres Musulmans qui doivent compter les Malaisiens parmi leurs coreligionnaires !
Il est vrai que les religions sont surtout faites pour les « pauvres en esprit » comme le dit si bien la première béatitude du «Sermon sur la montagne» de Jésus-Christ: « Heureux les pauvres en esprit, car le royaume des cieux est à eux ».
J'aimerais bien qu'ils entrent très rapidement en possession de leur royaume.
1 commentaire:
On dirait des enfants dans les cours d'école, ma foi..
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