Cette «prise» appartenait peut-être à Berlusconi -lui qui tient tant à exhiber ses attributs partout et dont les aventures le rendent si populaire auprès de ses électeurs.
(On parlera après cela du proverbe «Vox populi, vox Dei*»).
Mais c'est sans doute quelque chose de non comestible.
* Auquel Alcuin répondait (comme vous le lirez à la page où renvoie le lien) pour faire sa cour à Charlemagne son maître (qui ne savait pas lire): « Nec audiendi qui solent dicere, Vox populi, vox Dei, quum tumultuositas vulgi semper insaniae proxima sit.» (En français: «Et ces gens qui continuent à dire que la voix du peuple est la voix de Dieu ne devraient pas être écoutés, car la nature turbulente de la foule est toujours très proche de la folie.»)
mercredi 2 mars 2011
Prise non comestible
heure 15:28:00
1 commentaire:
Les bruits qui courent sur l' anatomie déficiente de Mussolini créent peut être un complexe dans cette tradition de dictateurs,en tout cas complètes ou non, leurs " petites affaires" sont lourdes à digérer!
Enregistrer un commentaire