mercredi 2 mars 2011

Prise non comestible

Cette «prise» appartenait peut-être à Berlusconi -lui qui tient tant à exhiber ses attributs partout et dont les aventures le rendent si populaire auprès de ses électeurs.
(On parlera après cela du proverbe «Vox populi, vox Dei*»).
Mais c'est sans doute quelque chose de non comestible.

* Auquel
Alcuin répondait (comme vous le lirez à la page où renvoie le lien) pour faire sa cour à Charlemagne son maître (qui ne savait pas lire): « Nec audiendi qui solent dicere, Vox populi, vox Dei, quum tumultuositas vulgi semper insaniae proxima sit.» (En français: «Et ces gens qui continuent à dire que la voix du peuple est la voix de Dieu ne devraient pas être écoutés, car la nature turbulente de la foule est toujours très proche de la folie.»)

1 commentaire:

orfeenix a dit…

Les bruits qui courent sur l' anatomie déficiente de Mussolini créent peut être un complexe dans cette tradition de dictateurs,en tout cas complètes ou non, leurs " petites affaires" sont lourdes à digérer!

Enregistrer un commentaire