L'étude a été faite aux États-Unis mais vous l'avez sans doute remarqué depuis longtemps: il y a non seulement les fidèles qui vont à la messe qui sont gros mais plus on monte dans la hiérarchie ecclésiastique plus les tours de taille deviennent monstrueux.
(Excepté au sommet de la hiérarchie où, depuis Jean XXIII, l'obésité se fait plus rare).
Peut-être les croyants ont-ils, plus que la moyenne des gens, faim de Dieu et, comme l'hostie est matériellement décevante pour apaiser la faim, peut-être déplacent-ils leur gourmandise divine vers des mets plus terrestres qu'ils ingurgitent en plus grande quantité pour tenter d'apaiser cette faim qui ne s'apaise jamais et pour cause.
Il y a que la gourmandise, -péché capital à l'égal des autres- n'est pas vraiment considéré comme un grand péché.
Étrangement !
La luxure -qui les travaille davantage, aussi bien quand ils ont fait le vœu de chasteté que quand ils utilisent le thermomètre pour contrôler les naissances- leur semble un péché plus important.
En tous cas ils en parlement davantage, sans doute pour mieux dissimuler leurs indéniables faiblesses à l'égard des autres.
Les yeux des fidèles et des prêtres devraient, selon moi, davantage se tourner vers leur assiette que vers les tentations que constituent les jeunes filles et les jeunes gens qu'ils prétendent mener dans les voies (ou les vignes ?) du Seigneur.
L'article de Yahoo Québec est ici et il comporte un lien qui conduit à Slate.fr où l'on présente cette édifiante photo que je vous laisse apprécier:
(Excepté au sommet de la hiérarchie où, depuis Jean XXIII, l'obésité se fait plus rare).
Peut-être les croyants ont-ils, plus que la moyenne des gens, faim de Dieu et, comme l'hostie est matériellement décevante pour apaiser la faim, peut-être déplacent-ils leur gourmandise divine vers des mets plus terrestres qu'ils ingurgitent en plus grande quantité pour tenter d'apaiser cette faim qui ne s'apaise jamais et pour cause.
Il y a que la gourmandise, -péché capital à l'égal des autres- n'est pas vraiment considéré comme un grand péché.
Étrangement !
La luxure -qui les travaille davantage, aussi bien quand ils ont fait le vœu de chasteté que quand ils utilisent le thermomètre pour contrôler les naissances- leur semble un péché plus important.
En tous cas ils en parlement davantage, sans doute pour mieux dissimuler leurs indéniables faiblesses à l'égard des autres.
Le sociologue Kenneth Ferraro, qui n'a pas pris part à l'étude mais qui travaille sur le sujet depuis plusieurs années estime que la gourmandise est un vice considéré comme acceptable par beaucoup de croyants :
« Le style de vie religieux a longtemps été considéré comme sain, avec des contraintes sur la promiscuité sexuelle et la consommation d'alcool et de tabac. Mais la suralimentation est un pêché (sic) que les pasteurs et les prêtres semblent négliger. [...] Dans le livre des Proverbes, la gourmandise est listée comme un signe de faiblesse morale au même titre que l'ivresse. »
Les yeux des fidèles et des prêtres devraient, selon moi, davantage se tourner vers leur assiette que vers les tentations que constituent les jeunes filles et les jeunes gens qu'ils prétendent mener dans les voies (ou les vignes ?) du Seigneur.
L'article de Yahoo Québec est ici et il comporte un lien qui conduit à Slate.fr où l'on présente cette édifiante photo que je vous laisse apprécier:
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