Je ne sais pas si c'est l'influence d'Almodovar ou si la chose est dans l'air du temps (et alors il faudrait réfléchir pour en trouver les raisons) mais la métamorphose que l'on a fait subir à l'acteur Daniel Craig (le plus récent James Bond si vous ne le savez pas) pour le transformer en femme à l'occasion de la «Journée de la femme» (hier au Québec, je ne sais pas dans le reste du monde), cette métamorphose est si hallucinante qu'elle semble donner raison aux fabricants de maquillage et de produits de beauté qui ont pensé il y a quelques années que «l'homme est une femme comme une autre».
Il est donc susceptible d'utiliser à bon escient les produits de beauté qu'on le persuadera d'utiliser.
La seule différence c'est qu'il est encore favorisé socialement, économiquement et politiquement par rapport aux autres femmes.
Peut-être certaines féministes des années soixante-dix ajouteraient-elles que «l'homme est favorisé par rapport aux autres femmes à cause de son clitoris surdimensionné».
Il est donc susceptible d'utiliser à bon escient les produits de beauté qu'on le persuadera d'utiliser.
La seule différence c'est qu'il est encore favorisé socialement, économiquement et politiquement par rapport aux autres femmes.
Peut-être certaines féministes des années soixante-dix ajouteraient-elles que «l'homme est favorisé par rapport aux autres femmes à cause de son clitoris surdimensionné».
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