L'illustration du mot « hot-dog » n'est pas très bonne mais le petit chien est charmant. Je vous le présente donc.
Pour les Anglophones le mot « dog » désignait un type de saucisses, et quand ils commandaient un « hot-dog » ils commandaient une « saucisse chaude ». Le pain n'était là que pour tenir la saucisse et éviter qu'on se brûle les doigts car une « saucisse chaude » se mangeait en marchant, sans ustensile.
On ne mangeait pas le pain au début, seulement la saucisse.
On aurait dû continuer car c'est sans doute le pain -et les sauces et condiments qu'on y ajoute- qui transforment le « hot-dog » en malbouffe.
Le petit chien de la photo n'est pas comestible quant à lui, malgré les rumeurs qui couraient lors de l'invention du « hot-dog ».
Et le « hot-dog » n'a rien de chinois.
On ne peut que le regarder avec plaisir et jouir de l'étonnement de ses petits grands yeux (a-t-il la forme d'une petite saucisse ?).
Voici la chanson et les paroles (de Loulou Gasté) de la chanson qui porte sur un autre petit chien et qui me rappelle les années cinquante. Elle était (et est) interprétée par Line Renaud, aux yeux couleur de mer
:
Pour les Anglophones le mot « dog » désignait un type de saucisses, et quand ils commandaient un « hot-dog » ils commandaient une « saucisse chaude ». Le pain n'était là que pour tenir la saucisse et éviter qu'on se brûle les doigts car une « saucisse chaude » se mangeait en marchant, sans ustensile.
On ne mangeait pas le pain au début, seulement la saucisse.
On aurait dû continuer car c'est sans doute le pain -et les sauces et condiments qu'on y ajoute- qui transforment le « hot-dog » en malbouffe.
Le petit chien de la photo n'est pas comestible quant à lui, malgré les rumeurs qui couraient lors de l'invention du « hot-dog ».
Et le « hot-dog » n'a rien de chinois.
On ne peut que le regarder avec plaisir et jouir de l'étonnement de ses petits grands yeux (a-t-il la forme d'une petite saucisse ?).
Voici la chanson et les paroles (de Loulou Gasté) de la chanson qui porte sur un autre petit chien et qui me rappelle les années cinquante. Elle était (et est) interprétée par Line Renaud, aux yeux couleur de mer
:
Combien pour ce chien dans la vitrine?
Combien pour ce chien dans la vitrine?
Ce joli p'tit chien jaune et blanc,
Combien pour ce chien dans la vitrine?
Qui pench' la tête en frétillant.
Je dois m'en aller en Italie
En laissant tout seul mon mari
Un chien lui tiendra compagnie
En étant toujours près de lui.
Combien pour ce chien dans la vitrine?
Ce joli p'tit chien jaune et blanc,
Combien pour ce chien dans la vitrine?
Qui me regarde en frétillant.
Je viens de lir' que dans les nouvelles
Il y a des voleurs de cœurs
Si de mon mari le cœur chancelle
Il protègerait mon bonheur.
Je n'ai pas besoin de souris blanches
Ni mêm' d'un perroquet savant
Quant aux poissons roug's même un dimanche
Il aurait l'air bête en les prom'nant.
Combien pour ce chien dans la vitrine?
Ce joli p'tit chien jaune et blanc,
Combien pour ce chien dans la vitrine?
Eh bien c'est d'accord je le prends...
4 commentaires:
c'est quoi la race de ce petit chien ?
Je dirais jeune teckel nain poil ras. Mais sans certitude.
loolll je connais l'auteur de cette photo
SVP dites-moi son nom que je lui reconnaisse le crédit photo.
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