mercredi 31 mars 2010

Regard «canon», regard poignard, regard meurtrier bienvenu

J'adore la photo qui coiffe cet article (ici) du Devoir (mars 2010) où Hillary Clinton lance un regard chargé de mépris au ministre conservateur canadien, Lawrence Cannon.
Je l'adore tant cette photo (j'appellerais cela un chef-d'œuvre) que je la reproduis seule et agrandie:

Crédit photo: Reuters/Chris Wattie

Quand le mépris étasunien s'adresse à quelqu'un qui le mérite (ô combien !), comme cet Anglophone québécois qui fait partie sans vergogne* d'un gouvernement d'extrême-droite puritain, fasciste, survivant attardé de l'époque Bush, partisan des sables bitumineux et ennemi de la liberté individuelle (surtout de celle des femmes) au nom d'une morale dépassée, antédiluvienne (celle de la « Bible Belt » du pays de la Secrétaire d'État), je ne puis qu'applaudir.
Quand on combat l'« Infâme » plutôt que de l'être soi-même on a droit à tous les suffrages.
Regardez la photo: le ministre des Affaires étrangères, malgré son nom (« Cannon »), semble s'évanouir sous le regard coup de « canon » de Mme
Clinton.
Quel merveilleux regard ! S'il pouvait être aussi puissant qu'un rayon laser!
Allez, Madame, faites-le disparaître avec vos beaux yeux menaçants, lui et tout le gouvernement dont il fait partie.

* Il y a aussi quelques minus québécois francophones dans ce gouvernement, la lie de leur peuple. Mais ils ne jurent pas parmi leurs compagnons ministres et députés canadiens de diverses origines, ils sont du même inane acabit.

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