Voici un poème en forme de haïku (seulement en forme de haïku car il y manque certains éléments indispensables au haïku) où l'on pourrait considérer qu'il y a une «mise en abyme» mais de quelque chose d'extérieur à lui (extension considérable de la notion). Devinez comment.
En t'ouvrant ma porte
tes yeux or comme des fleurs
au clair de la lune
tes yeux or comme des fleurs
au clair de la lune
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