Quand mon médecin m'a appris que mon taux de cholestérol était «limite» et que si je ne réagissais pas elle allait devoir commencer à me donner des médicaments -dont les effets secondaires pouvaient être imprévisibles et parfois gênants-, je me suis précipité vers l'entraînement, que j'avais abandonné pendant quelques années.
Sans doute avais-je en tête cette réflexion d'Oscar Wilde (à droite une acrylique de Bettina Bick):
On peut supporter l'adversité, elle vient de l'extérieur et n'est qu'accidentelle. Tandis que souffrir pour les fautes qu'on a commises - ah ! c'est là que la vie nous blesse.
Je me souviens de m'être dit: «Si je meurs il ne faut pas que ce soit de ma faute».
Cela allait même plus loin que la réflexion de Wilde.
Je suis parvenu à abaisser mon taux de cholestérol et même à le rendre normal.
Mais une faute est si rapidement commise et, en outre, pour certaines d'entre elles, si plaisantes à commettre.
Et la mort est vraiment inévitable. Et douce si elle est sans souffrances.
Cela allait même plus loin que la réflexion de Wilde.
Je suis parvenu à abaisser mon taux de cholestérol et même à le rendre normal.
Mais une faute est si rapidement commise et, en outre, pour certaines d'entre elles, si plaisantes à commettre.
Et la mort est vraiment inévitable. Et douce si elle est sans souffrances.
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