lundi 3 mars 2008

Élizabeth, Roi d'Angleterre

Nous étions en voiture, en route pour la représentation d'«Élizabeth, Roi d'Angleterre» de Timothy Findley (à gauche) par la troupe du Théâtre du Nouveau Monde à l'Auditorium Dufour (à Saguenay). Je disais à ma femme des choses que j'écrirais sur ce blogue à propos de la pièce, de la salle, etc.
Elle me demande tout à coup (et cela sera l'aphorisme d'aujourd'hui):«Tu ne trouves pas que tu es comme Oscar Wilde qui ne lisait jamais les ouvrages dont il
allait faire la critique de peur de se laisser influencer: tu parles de la pièce avant de la voir».
Elle avait un peu raison (un peu seulement car ce n'est pas de la représentation que je voulais parler) mais dans le pire des cas je crois que ce n'est pas seulement à Oscar Wilde que je ressemble (ci-haut une autre photo de celui-ci, trop petite jugerait-il peut-être) .

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