lundi 24 mars 2008

Feux de circulation et cassoulet



Mon frère Dominique et sa femme Aline sont de retour d'un séjour d'un mois au Viet-Nam. Nous les avons reçus pour Pâques samedi soir dernier (pour nous c'était samedi soir, pour eux, de retour depuis la veille, c'était plutôt aux petites heures du matin le surlendemain) en même temps que mon beau-père, mon fils Fabrice et sa conjointe Cindy.
Au menu (pour ramener vigoureusement ma belle-sœur et mon frère à la cuisine occidentale) du cassoulet Pachon (plutôt de Castelnaudary que de Toulouse, malgré l'origine du chef: il y a une photo à droite -et ma femme me dit que c'est du cassoulet de Carcassonne). Et des vins divers dont je reparlerai peut-être ultérieurement.

Un peu endormi, mon frère m'a parlé de la circulation infernale de Saïgon (le nom officiel est Hô-Chi-Minh-Ville depuis la fin de la guerre du Viet-Nam mais tout le monde l'appelle encore Saïgon), du bourdonnements fous des motos et des vespas.
Cela m'a rappelé l'Italie et la manière dont les feux de circulation sont considérés dans les différentes régions de ce pays (il piu bello). Vous savez sûrement cela mais permettez-moi de vous le rappeler car cela fait toujours sourire.
À Milan, (ci-dessous la Piazza del Duomo, l'une des plus belles places du monde selon moi, avec la cathédrale et la « galeria ») au nord, les feux de circulation sont impératifs. À Rome, au centre, ils sont facultatifs. À Naples, au sud, ils sont décoratifs.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire