Aujourd'hui je lis une pensée de Denis de Rougemont (à droite), -celle-ci,
et elle me rappelle ce que disait Boris Cyrulnik, lors de sa dernière entrevue à Bazzo.tv le 27 février dernier, à propos de l'abandon scolaire des adolescents (pas des adolescentes), dont le taux s'accroît dans tout l'Occident.
Selon Boris Cyrulnik ce taux d'abandon des adolescents provient du fait que, dans nos sociétés, il n'y a plus de place pour le corps des hommes.
Jusqu'à présent, disait-il, c'est avec leur corps que la majorité des hommes a apporté sa contribution à la vie des sociétés. La société moderne ne leur permet plus de le faire. Ils se sentent inutiles, et inadéquats devant ce qu'on leur demande d'apprendre dans les salles de classe.
Voire dans les facultés, car la proportion des hommes étudiant à l'université est en baisse constante par rapport à celle des femmes.
Peut-être est-ce là aussi une des causes du taux de suicide plus grand chez les adolescents que chez les adolescentes, et même chez les hommes de tous âges par rapport aux femmes de tous âges.
Car c'est à tout âge que les hommes ont un sentiment d'inutilité et d'inadéquation.
Peut-être conviendrait-il d'examiner encore à la lumière de cette réflexion la différence d'espérance de vie de chacun des deux sexes, toujours au désavantage de l'homme.
Je place ici un extrait de cette entrevue dans laquelle, malheureusement, on ne parle pas de ce sujet, simplement pour vous montrer l'« interviewé » si vous ne le connaissez pas (et l'animatrice -Marie-France Bazzo- pour les visiteurs de l'étranger (ce qui comprend le Canada) qui ne la connaissent sûrement pas s'ils n'ont pas accès à Télé-Québec):
La vraie condition de l'homme, c'est de penser avec ses mains
et elle me rappelle ce que disait Boris Cyrulnik, lors de sa dernière entrevue à Bazzo.tv le 27 février dernier, à propos de l'abandon scolaire des adolescents (pas des adolescentes), dont le taux s'accroît dans tout l'Occident.
Selon Boris Cyrulnik ce taux d'abandon des adolescents provient du fait que, dans nos sociétés, il n'y a plus de place pour le corps des hommes.
Jusqu'à présent, disait-il, c'est avec leur corps que la majorité des hommes a apporté sa contribution à la vie des sociétés. La société moderne ne leur permet plus de le faire. Ils se sentent inutiles, et inadéquats devant ce qu'on leur demande d'apprendre dans les salles de classe.
Voire dans les facultés, car la proportion des hommes étudiant à l'université est en baisse constante par rapport à celle des femmes.
Peut-être est-ce là aussi une des causes du taux de suicide plus grand chez les adolescents que chez les adolescentes, et même chez les hommes de tous âges par rapport aux femmes de tous âges.
Car c'est à tout âge que les hommes ont un sentiment d'inutilité et d'inadéquation.
Peut-être conviendrait-il d'examiner encore à la lumière de cette réflexion la différence d'espérance de vie de chacun des deux sexes, toujours au désavantage de l'homme.
Je place ici un extrait de cette entrevue dans laquelle, malheureusement, on ne parle pas de ce sujet, simplement pour vous montrer l'« interviewé » si vous ne le connaissez pas (et l'animatrice -Marie-France Bazzo- pour les visiteurs de l'étranger (ce qui comprend le Canada) qui ne la connaissent sûrement pas s'ils n'ont pas accès à Télé-Québec):
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