jeudi 29 juillet 2010

Sales «vérités» des religions; bienheureuses hypothèses de la science.

C'est ce que j'aime dans la science (et dans l'art où c'est la même chose mais différemment): il n'y a pas de vérité, ni absolue, ni éternelle, au nom de laquelle on pourrait condamner, exiger des rétractations, torturer, brûler sur le bûcher, lapider ou enterrer vivant.
Il n'y a que des hypothèses, des théories qu'on peut toujours remettre en question, que l'on garde tant qu'elles sont utiles pour expliquer des phénomènes, construire des choses (concrètes ou abstraites) mais qu'on peut abandonner d'un jour à l'autre quand une autre théorie, une autre hypothèse semblent plus fécondes.
Le contraire de ce qui existe dans les religions.
Sales «vérités» des religions; bienheureuses hypothèses de la science.
(L'article original sur la nouvelle hypothèse, qui postule l'absence de «Big Bang», est ici).

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