La plupart du temps les nuages, « les merveilleux nuages » sont débonnaires et nous laissent imaginer ce que notre esprit désire à partir de leurs formes.
Mais parfois, on ne sait pourquoi, -peut-être ont-ils des particules atomiques qui leur restent des essais de bombes dans les îles du Pacifique-, ils sont plus impérieux et ne laissent rien à l'imagination.
Comme dans cette photo ci-dessus où l'un de ces impérieux dessine un visage monstrueux au long nez.
Voyez-le, pivoté:
Si vous désirez voir quelques-uns des débonnaires, rendez-vous ici où vous pourrez lire en même temps le petit poème en prose que Baudelaire leur consacre.
Mais en attendant, regardez ces nuages-ci, également impérieux (ils sont tous là):
Je préfère les débonnaires, quant à moi. Mais c'est sur l'imagination des spectateurs que repose leur fécondité.
Ils sont de la poésie alors que ces nuages à forme déterminée sont de la prose.
Mais parfois, on ne sait pourquoi, -peut-être ont-ils des particules atomiques qui leur restent des essais de bombes dans les îles du Pacifique-, ils sont plus impérieux et ne laissent rien à l'imagination.
Comme dans cette photo ci-dessus où l'un de ces impérieux dessine un visage monstrueux au long nez.
Voyez-le, pivoté:
Si vous désirez voir quelques-uns des débonnaires, rendez-vous ici où vous pourrez lire en même temps le petit poème en prose que Baudelaire leur consacre.
Mais en attendant, regardez ces nuages-ci, également impérieux (ils sont tous là):
Je préfère les débonnaires, quant à moi. Mais c'est sur l'imagination des spectateurs que repose leur fécondité.
Ils sont de la poésie alors que ces nuages à forme déterminée sont de la prose.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire