L'opposition que l'on peut voir (si on le désire, mais comment ne pas la voir ?) dans cette photo prise à New York me semble être l'opposition entre deux forces qui déchirent la société étasunienne.
D'abord la force de ce qu'on pourrait appeler, en utilisant le vocabulaire de « Stars War », le « côté obscur* » des États-Unis : l'Hermès et son cortège qui surplombent la façade de « Grand Central Terminal », toute en rouge et rougissant, comme du sang, tout ce qui l'entoure, y compris les drapeaux étasuniens.
Comme si le sang répandu pour obéir à ce côté obscur, -qui est celui du commerce et de la rapine dont le dieu est effectivement Hermès (dernier épisode, l'invasion de l'Irak, précédée d'une longue théorie d'invasions iniques)-, comme si ce sang avait réussi à émerger enfin à la vue de tous et à teindre l'un des principaux monuments de New York.
Et ensuite la force du côté « clair », si je puis me permettre ce mot, symbolisée par le sommet surgissant du « Chrysler Building » dont les motifs, j'en ai pris conscience en observant cette photo, reproduisent les pointes du diadème lumineux -et plusieurs fois le diadème lui-même- de la statue de la Liberté.
La force qui entraîne (mais de plus en plus rarement aufur et à mesure que les décennies avancent) les États-Unis dans la défense des persécutés et de la liberté.
Hermès sombre et sanglant contre lumineuse « Miss Liberty ».
Nuit contre lumière.
Qui l'emportera ?
* Sans doute initié, ce « côté obscur », dès la préhistoire des États-Unis quand le général Washington laissa assassiner (ou fit lui-même assassiner) le sieur de Jumonville (voir ici et là pour un exposé plus explicite de l'assassinat) qui, précédé d'un drapeau blanc, venait engager des pourparlers au nom des troupes françaises et québécoises de la Nouvelle-France.
D'abord la force de ce qu'on pourrait appeler, en utilisant le vocabulaire de « Stars War », le « côté obscur* » des États-Unis : l'Hermès et son cortège qui surplombent la façade de « Grand Central Terminal », toute en rouge et rougissant, comme du sang, tout ce qui l'entoure, y compris les drapeaux étasuniens.
Comme si le sang répandu pour obéir à ce côté obscur, -qui est celui du commerce et de la rapine dont le dieu est effectivement Hermès (dernier épisode, l'invasion de l'Irak, précédée d'une longue théorie d'invasions iniques)-, comme si ce sang avait réussi à émerger enfin à la vue de tous et à teindre l'un des principaux monuments de New York.
Et ensuite la force du côté « clair », si je puis me permettre ce mot, symbolisée par le sommet surgissant du « Chrysler Building » dont les motifs, j'en ai pris conscience en observant cette photo, reproduisent les pointes du diadème lumineux -et plusieurs fois le diadème lui-même- de la statue de la Liberté.
La force qui entraîne (mais de plus en plus rarement aufur et à mesure que les décennies avancent) les États-Unis dans la défense des persécutés et de la liberté.
Hermès sombre et sanglant contre lumineuse « Miss Liberty ».
Nuit contre lumière.
Qui l'emportera ?
* Sans doute initié, ce « côté obscur », dès la préhistoire des États-Unis quand le général Washington laissa assassiner (ou fit lui-même assassiner) le sieur de Jumonville (voir ici et là pour un exposé plus explicite de l'assassinat) qui, précédé d'un drapeau blanc, venait engager des pourparlers au nom des troupes françaises et québécoises de la Nouvelle-France.
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