J'avais été ébloui par les portes des maisons irlandaises à Dublin et, surtout, par les photographies qui les présentaient côte à côte dans certains guides touristiques.
Je m'étais dit qu'il y avait sûrement d'aussi belles portes à Québec, une ville ayant subi, comme Dublin, la domination britannique et ayant reçu, comme réfugiés de la Grande Famine, d'innombrables immigrants irlandais.
La seule différence résidant dans le fait que Québec a pu conserver sa langue.
À cause sans doute de la longueur moindre de la domination génocidaire et de la présence d'un ennemi dangereux des Anglais, les États-Unis, aux portes mêmes (c'est le cas de la dire) de Québec.
Mais des génocidaires dominent et sévissent encore : la victoire n'est pas encore définitive.
Et effectivement, au cours de séjours successifs, j'en avais tant aperçu de ces portes que j'avais formé le projet de les photographier.
Projet toujours remis tant sa réalisation demandait de travail et de déambulations, et d'habiletés, sinon de talents, photographiques.
Et puis un livre que j'ai acheté cette semaine l'a heureusement réalisé sans m'attendre.
Je vous en présente six de ces portes. D'autres suivront.
Voyez déjà la variété des styles: ogival, renaissance, baroque, néo-classique, colonial, etc.
Le livre dont il est question vous est présenté ici.
D’une main composée pour moi
Et qu’elle soit faible qu’importe
Cette main double la mienne
Pour tout lier tout délivrer
Pour m’endormir pour m’éveiller
D’un baiser la nuit des grands rapports humains
Un corps auprès d’un autre corps
La nuit des grands rapports terrestres
la nuit native de ta bouche
La nuit où rien ne se sépare
Que ma parole pèse sur la nuit qui passe
Et que s’ouvre toujours la porte par laquelle
Tu es entrée dans ce poème
Porte de ton sourire et porte de ton corps
Par toi je vais de la lumière à la lumière
De la chaleur à la chaleur
C’est par toi que je parle et tu restes au centre
De tout comme un soleil consentant au bonheur
Je m'étais dit qu'il y avait sûrement d'aussi belles portes à Québec, une ville ayant subi, comme Dublin, la domination britannique et ayant reçu, comme réfugiés de la Grande Famine, d'innombrables immigrants irlandais.
La seule différence résidant dans le fait que Québec a pu conserver sa langue.
À cause sans doute de la longueur moindre de la domination génocidaire et de la présence d'un ennemi dangereux des Anglais, les États-Unis, aux portes mêmes (c'est le cas de la dire) de Québec.
Mais des génocidaires dominent et sévissent encore : la victoire n'est pas encore définitive.
Et effectivement, au cours de séjours successifs, j'en avais tant aperçu de ces portes que j'avais formé le projet de les photographier.
Projet toujours remis tant sa réalisation demandait de travail et de déambulations, et d'habiletés, sinon de talents, photographiques.
Et puis un livre que j'ai acheté cette semaine l'a heureusement réalisé sans m'attendre.
Je vous en présente six de ces portes. D'autres suivront.
Voyez déjà la variété des styles: ogival, renaissance, baroque, néo-classique, colonial, etc.
Le livre dont il est question vous est présenté ici.
D’une main composée pour moi
Et qu’elle soit faible qu’importe
Cette main double la mienne
Pour tout lier tout délivrer
Pour m’endormir pour m’éveiller
D’un baiser la nuit des grands rapports humains
Un corps auprès d’un autre corps
La nuit des grands rapports terrestres
la nuit native de ta bouche
La nuit où rien ne se sépare
Que ma parole pèse sur la nuit qui passe
Et que s’ouvre toujours la porte par laquelle
Tu es entrée dans ce poème
Porte de ton sourire et porte de ton corps
Par toi je vais de la lumière à la lumière
De la chaleur à la chaleur
C’est par toi que je parle et tu restes au centre
De tout comme un soleil consentant au bonheur
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