On a fait une mauvaise réputation à Épicure.
On a dit qu'il préconisait exclusivement les plaisirs des sens.
En réalité ce qui l'intéressait c'était les plaisirs intellectuels et, en premier lieu, l'amitié, comme on le voit dans cette maxime :
De tous les biens que la sagesse nous procure pour apporter le bonheur dans notre vie, celui de l'amitié est de beaucoup le plus grand.
Il y a du sentiment dans l'amitié mais pas de plaisir des sens comme dans l'amour, pas de sexe si vous préférez.
Les plaisirs de l'amitié sont surtout intellectuels et résident dans l'entraide.
C'est le fondement de l'épicurisme véritable.
Je vous souhaite, si vous ne l'avez déjà, (et me souhaite) le bien de l'amitié.
Voici la chanson « L'Amitié » de Françoise Hardy que je vous ai déjà présentée un jour dans ce blogue mais sans les paroles. La voici avec les paroles (plus bas vous trouverez les paroles espagnoles) :
L'amitié
Paroles: Jean-Max Rivière
Musique: Gérard Bourgeois
Musique: Gérard Bourgeois
Beaucoup de mes amis sont venus des nuages
Avec soleil et pluie comme simples bagages
Ils ont fait la saison des amitiés sincères
La plus belle saison des quatre de la Terre
Ils ont cette douceur des plus beaux paysages
Et la fidélité des oiseaux de passage
Dans leurs cœurs est gravée une infinie tendresse
Mais parfois dans leurs yeux se glisse la tristesse
Alors, ils viennent se chauffer chez moi
Et toi aussi, tu viendras
Tu pourras repartir au fin fond des nuages
Et de nouveau sourire à bien d'autres visages
Donner autour de toi un peu de ta tendresse
Lorsqu'un autre voudra te cacher sa tristesse
Comme l'on ne sait pas ce que la vie nous donne
Il se peut qu'à mon tour je ne sois plus personne
S'il me reste un ami qui vraiment me comprenne
J'oublierai à la fois mes larmes et mes peines
Chauffer mon cœur à ton bois
La Amistad
Muchos de mis amigos han venido de la nubes
con sol y lluvia como único equipaje
han hecho de la estación de las amistades sinceras
la más bella estación de las cuatro de la tierra
Tienen esa dulzura de los más bellos paisajes
y la fidelidad de las aves migratorias
en sus corazones está grabada una infinita ternura
pero a veces en sus ojos se refleja la tristeza
Entonces, vienen al calor de mi casa
y tú también vendrás
Podrás volver a lo más profundo de las nubes
y de nuevo sonreír a muchos otros rostros
dar a tu alrededor un poco de tu ternura
cuando otro quiera ocultarte su tristeza
Como no sabemos lo que la vida nos depara
puede ser que a mi vez yo no sea nunca más alguien
si me queda un amigo que realmente me comprenda
olvidaré a la vez mis lágrimas y mis penas
Entonces, quizás vendré a tu casa
a calentar mi corazón con tu leña
1 commentaire:
On ne se lasse pas de l'entendre cette chanson. C'est bien que vous ayez mis le paroles. Et en espagnol, cela doit être encore plus sensuel. Je vais rechercher cette version sur yiu tube, on ne sait jamais...
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