C'est Eric Schmidt, PDG de Google.
Il a déclaré que si on désirait ne pas divulguer des renseignements personnels il ne fallait pas les divulguer sur Internet car Google garde mémoire de tout et ne rend des comptes à personne excepté au Gouvernement des États-Unis lequel, à cause du «Patriot Act», peut tout obtenir de Google, bon citoyen corporatif états-unien.
Et quand des journalistes de CNET ont divulgué des renseignements personnels le concernant non seulement Eric Schmidt ne s'est pas résigné à se soumettre à la politique qu'il fait appliquer aux autres par Google mais il a ordonné à ses employés d'user de mesures de représailles à l'égard des journalistes de CNET.
Cela ne vous rappelle-t-il pas quelqu'un?
Vous ne devriez pas vous rappeler d'un États-unien en particulier (c'est-à-dire George W. Bush, ou Dick Cheney ou l'un ou l'autre de leurs sbires et «sbiresses» si vous me permettez ce terme) mais de tous les États-uniens du genre de ceux-ci et d'Eric Schmidt qui vous signifient: «Faites ce que je vous dis, et pas ce que je fais, et laissez-moi faire tranquillement de l'argent et accroître mon pouvoir à vos dépens».
La devise de Google, inventée par cet Eric Schmidt, est «Don't be evil» («N'incarnez pas le mal», pourrait-on traduire).
L'incarnation du mal (du moins l'une d'entre elles) est devant vos yeux.
Combien d'entre elles ont occupé le devant de la scène depuis 2000!
(Cliquez sur la seconde image ou ici pour être conduit à l'article de MacGénération).
Peut-être les fondateurs de Google pourraient-ils intervenir.
(Mais peut-être, étant donné leur nationalité, sont-ils d'accord avec leur PDG).
samedi 12 décembre 2009
Eric/Evil, deux mots de quatre lettres (un 3e devrait tout de suite vous venir à l'esprit, il commence par «f»)
heure 15:21:00
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