Concurrence non pas dans l'excellence de l'éducation mais dans l'occupation des créneaux les plus rentables, surtout dans la recherche où l'on privilégie les domaines qui rapportent les subventions ou les commandites les plus juteuses parce qu'elles sont privilégiées par les ministères ou les entreprises vouées exclusivement au profit, aussi peu intéressé(e)s par l'Éducation des futurs et actuels citoyens que les institutions d'éducation elles-mêmes.
Il faut remarquer que cette situation ne date pas d'aujourd'hui puisqu'Alexandre Dumas fils -qui attribue, comme vous le lisez, la bêtise des humains à l'éducation telle qu'elle est-, est décédé en 1895, cinq ans avant le début du 20e siècle.
Depuis plus d'un siècle déjà.
2 commentaires:
Les priorités de budget sont mal orientées il est vrai, mais je constate une déchéance intellectuelle chez les enfants quand ils prennent conscience de leur intérêt à moduler leur pensée sur celle des autres et cela s' accélère avec l' autonomie professionnelle et financière, il faudrait ne rien avoir à perdre pour rester libre d' esprit.
Mais comme la «mauvaise éducation» elle-même cela est causé par une organisation erronée de la société tout entière. Plus la société est bête plus les citoyens sont bêtes, plus les citoyens sont bêtes plus la société l'est. Effet spirale!
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