On y parle de quelqu'un que je n'aime point: vous voyez sa photo.
Si on pouvait ne plus jamais le voir ce visage d'hystérique toujours en train de s'approprier les bonnes idées d'autrui et de s'attribuer leurs réalisations si elles sont des réussites et d'attribuer leur échec à d'autres.
Comme tout hystérique, les bras tournant au gré des vents comme les ailes d'un moulin à vent.
Peut-être emprunterai-je l'exemplaire d'un ami qui les achète tous religieusement.
Trop religieusement.
On y parle du livre de Claude Allègre (que je n'aime pas non plus), «Sarko ou le complexe de Zorro».
Une citation (l'image de Zorro y est trop positive pour qu'elle m'incite à acheter le livre):
Le héros qui se cache derrière Nicolas Sarkozy est, à mon avis, Zorro. Le vengeur masqué, le cavalier qui surgit hors de la nuit pour défendre l’opprimé, rétablir la justice, pourfendre le mensonge. Ses principaux atouts? Le courage, l’adresse, le sens de l’astuce, et surtout la rapidité dans ses prises de décision.
Mais Zorro est un héros solitaire: il agit seul et savoure seul sa gloire. Il a pour bras droit Bernardo, efficace, discret et surtout muet. N’est-ce pas l’idée que Sarkozy se fait de son Premier ministre —même s’il a, depuis peu, revu sa vision des choses?
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