C'est « mon » Milou. Celui que je connais depuis mon enfance. Celui qui, avec son maître et les autres personnages des aventures de Tintin, a joué un grand rôle dans l'imaginaire de ma famille.
Et voici « mon » Tintin :
J'ai connu un autre Milou et un autre Tintin hier.
Des gens qui lisent des journaux et des vieux papiers du 17e siècle écrits en anglais.
Ce ne sont pas les miens, ce sont « leur » Tintin, « leur » Milou, leurs personnages d'autres aventures de Tintin.
La preuve, regardez-les, ils ne ressemblent pas aux « miens », ni Milou, ni Tintin :
Peut-être sont-ils plus beaux que les « miens » mais ce sont d'autres personnages que ceux que je connais.
Ce n'est pas un défaut et le film de Spielberg que je suis allé voir hier au cinéma est plein de trouvailles.
La Castafiore (plus belle que la mienne mais la plus ressemblante) engagée comme brise-verre à l'épreuve des balles : excellent. Elle chante d'ailleurs mieux que je ne l'imaginais.
Sur papier elle n'était que ridicule.
Le combat des grues du port du sultanat marocain entre le capitaine Haddock et le descendant de Rackham le Rouge : excellente mise en abyme (grossissante) du combat aux sabres de leurs ancêtres.
Le film est palpitant.
Mais d'un palpitant hollywoodien : poursuites apocalyptiques, mitraillades, combats à poings nus, destructions de villes, de barrages, de routes, etc.
On a déjà vu tout cela ailleurs : ce sont les ingrédients essentiels de la plupart des films hollywoodiens qui ne sont maintenant, dans leur majorité, que cela.
J'aurais cru Spielberg davantage différent.
Mais cela me plaît encore : vite la suite.
Peut-être avec d'autres que Spielberg maintenant que la voie est tracée.
Moins hollywoodien peut-être.
Et, dans cette perspective, (un peu) plus de conversations s'il vous plaît.
Moins de mépris à l'égard des non-Blancs, mais peut-être y a-t-il du Hergé dans le mépris qu'on voit dans le film.
Et voici « mon » Tintin :
J'ai connu un autre Milou et un autre Tintin hier.
Des gens qui lisent des journaux et des vieux papiers du 17e siècle écrits en anglais.
Ce ne sont pas les miens, ce sont « leur » Tintin, « leur » Milou, leurs personnages d'autres aventures de Tintin.
La preuve, regardez-les, ils ne ressemblent pas aux « miens », ni Milou, ni Tintin :
Museau trop rond. Celui du mien est rectangulaire.
Pas assez frisé son poil.
Visage pas assez rond.
Je prends conscience que Tintin n'est pas un blond,
comme je pensais, mais un roux. Mince !
Avait-il du sang Tudor ?
Ce n'est pas un défaut et le film de Spielberg que je suis allé voir hier au cinéma est plein de trouvailles.
La Castafiore (plus belle que la mienne mais la plus ressemblante) engagée comme brise-verre à l'épreuve des balles : excellent. Elle chante d'ailleurs mieux que je ne l'imaginais.
Sur papier elle n'était que ridicule.
Le combat des grues du port du sultanat marocain entre le capitaine Haddock et le descendant de Rackham le Rouge : excellente mise en abyme (grossissante) du combat aux sabres de leurs ancêtres.
Le film est palpitant.
Mais d'un palpitant hollywoodien : poursuites apocalyptiques, mitraillades, combats à poings nus, destructions de villes, de barrages, de routes, etc.
On a déjà vu tout cela ailleurs : ce sont les ingrédients essentiels de la plupart des films hollywoodiens qui ne sont maintenant, dans leur majorité, que cela.
J'aurais cru Spielberg davantage différent.
Mais cela me plaît encore : vite la suite.
Peut-être avec d'autres que Spielberg maintenant que la voie est tracée.
Moins hollywoodien peut-être.
Et, dans cette perspective, (un peu) plus de conversations s'il vous plaît.
Moins de mépris à l'égard des non-Blancs, mais peut-être y a-t-il du Hergé dans le mépris qu'on voit dans le film.
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