dimanche 15 janvier 2012

Blâmer le Seigneur pour une défaite

Voilà où cela conduit de servir Dieu à toutes les sauces (constitutions, discours politiques, tribunaux, et j'en passe et j'en passe) comme on le fait aux États-Unis.
Peut-être devrait-on déclarer que Dieu parle français, cela en détournerait sans doute les Étasuniens.
Pour le plus grand bien de Dieu.
Heureusement qu'il y a les rédacteurs et les lecteurs du New Yorker pour stigmatiser ces stupidités nationales (le dessin est emprunté au magazine).

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire