Et ceux qui riaient alors, sous la présidence d'Alan Greenspan, ils rient toujours dans leur retraite dorée, suivant religieusement la belle saison là où elle règne, qu'il passe tour à tour dans l'une de leurs luxueuses demeures.
Et ceux qui les ont remplacés, ils rient aussi.
Tous rient de nous, pauvres stupides petites gens, et des tours pendables qu'ils ont joués à l'économie de la Terre.
Sans possibilité qu'on puisse les pendre.
Ce sont d'eux qu'on prend des leçons dans les cours d'administration et de finance.
(Je le sais, j'ai vu des diplômés de ces cours, voire de ces programmes, à l'œuvre. Je les ai vus en direct, si je puis dire !)
Les cours et programmes qu'on leur donne c'est pour qu'ils puissent eux aussi rire d'autres pauvres stupides petites gens comme vous et moi.
(L'article de Yahoo Québec, « Plus la crise s'approchait, plus les banquiers riaient » est ici).
Regardez-le de plus près rire de vous :
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